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« I am pudique »

Posted in couple, musique, relation, société with tags , , , , , , on 30 novembre 2009 by latrentenaireselache

Le 13 septembre 2009, 22h23.

Elfe a passé plus d’une heure à installer mon micro (Rode NT1A) pour qu’il soit compatible avec Garage Band et la Mbox 2…

Super patient, il réussit un coup de maître après moult manip’…Je peux enfin chanter.

-« Alala, merci mon Elfe, merci beaucoup ! »

Elfe (épuisé, autant dire, « ras-le-pomponisé » ) :-« MMMmmmm…De rien. »

La Trentie, au moment de chanter  :

-« Punaise, je me sens pudique… »

Elfe (avec cette expression qui veut dire clairement,  « c’est quoi cette casse-couille?!):

-« Je me suis pas pété le cul pour que tu sois pudique !! »

La T. :-« … »

 » Du poulpe au sanglier… »

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Début septembre 2009.

Suite à notre décision, en mars, de quitter la France, et avant d’entamer les démarches administratives en tout genre et d’organiser le déménagement, nous nous sommes octroyés une nouvelle pause. (ouais, je sais, on abuse un peu, mais on avait « une proposition en or », et un grand besoin de nous ressourcer ).

La Mère Supérieure et Dieu le Père nous prêtent un petit studio en bord de mer pour une période de 10 jours environ, comme on veut (Waaaaow, le rêve, on va pas rââler quand même !! ).

C’était super, jusqu’au moment où on s’est rendu compte que les nuits seraient passées les yeux grands ouverts, et la tête comme une pastèque.

A 2 pas de la route qui nous sépare de la mer, every night, je dis bien, E-VE-RY NIGHT, nous avons droit à un concerto extrêmement bien orchestré, de motos, camions poubelles et véhicules mutants en tout genre … Bien sûr, cela n’aurait pas eu grand impact sur nous, si, par une chance extraordinaire, il ne s’était pas trouvé là un feu qui rougit très, MAIS TRÈS TRÈS vite… (Et au moins aussi rouge que nos yeux « au réveil » (pour parler vraiment de réveil, il faut avoir pu dormir…)) .

Vous me direz, on aurait pu fermer la fenêtre (double vitrage). Mais avec la chaleur ambiante et le ventilo, qui prend un malin plaisir à imiter le réacteur d’un avion…

8h30 du mat. On est claqué. Le soleil darde de ses rayons pour finir d’éclater nos paupières douloureuses.(ai oublié de baisser le store à 6h30; par « la gloire de Jesus de Nazareth »,  je commençais à capoter …)

Et là, puisque nous sommes en rez-de-chaussée, la tête d’un type se profile à l’horizon (à 1m50 de mes pieds, ou de ma tête, je suis confuse)… Le jardinier et sa débroussailleuse…Et son lot de décibels supplémentaires… Merci la Vie.

C’est pas grave, notre état laisse vraiment à désirer sur la fin, mais nous tenons bon grâce à l’iode bienfaisante. Bienfaisante et bien tonique les derniers jours… D’ailleurs, plus personne ne se baigne vers le 10, (je veux dire, vers le 10 degrés celsius) c’est normal?!

Quant à notre intimité, elle aura été sporadiquement perturbée par les « quelques » visites inopportunes de futures locataires de l’appart, qui doit être reloué après notre départ (je vous fais grâce du passage avec le « faux locataire pyschopathe » nous observant par le balcon…).

Dernier jour, des sushis étaient prévus avec toute la famille…La livraison s’est un peu faite avec une heure de retard (nous n’aurons pas perdu notre temps, « le rosé » étant de bonne compagnie ), sans excuses du livreur, et le plateau de 80 euros, soit-disant pour 5, n’était finalement que pour 2 (à O’Sushi, ils fument des algues dorées à l’or fin )…

Dieu le Père, excédé par une telle attente inutile de victuailles ridicules, s’en va donc acheter un pot de pâté de gibier  à la station-service du coin… Nos papilles gustatives passent du poulpe au sanglier, mais la bonne humeur ambiante (merci Ô « Côtes de Provence ») n’aura pas été entachée.

Ce qui se serait présenté comme une désastre familial, devint un mémorable moment de rigolade, la bouche pleine de  pâté-poiscaillé …

 » La Guerilla du Coeur  »

Posted in amitié, culture, fête, gastronomie, loisir, relation, société, vacances with tags , , , , , , , , , , , , , on 30 novembre 2009 by latrentenaireselache

Les vacances se passent merveilleusement.

Contre toute  attente, on est devenu très amis avec « le péruvien » qui est en fait, salvadorien.

De plus en plus à l’aise avec nous et nous avec lui, S. nous a régulièrement offert une partie de son repas, souvent composé de produits de son pays.

On rigole beaucoup avec lui, et on a décidé de passer un samedi soir ensemble, autour d’un barbecue. On se charge de l’alcool et des brochettes de boeuf. Il nous fera le grand plaisir d’en préparer avec des noix de St-Jacques fraîches… Après avoir assaisonné sa salade aux mélanges insolites mais succulents… Madre de Dios, que c’était bon!

Au cours du dîner, S. nous a raconté un peu son histoire.

Ancien guerillero enrôlé de force, à la famille implosée par l’assassinat de son frère, auquel il a dû assister, et une tentative de meurtre contre son père…

A refusé de tirer sur « un ennemi » dans la jungle. Il m’a expliqué qu’il ne voyait pas pourquoi il devrait retirer la vie à un autre être humain, sous prétexte que cette personne n’était pas « dans le même camps » que son chef.

N’a pas vendu son âme au diable, et a risqué l’exécution. M’a fendu le coeur et faite chialer comme une madeleine…

Il fait désormais partie des êtres les plus nobles qu’il m’ait été donné de rencontrer…

« Guerre de territoire »

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Le 07 juillet 2009. Plus tard.

Retour au B. C., chez Jean (merveilleux hôte).

On se bécote,  on se tripote, dans la cuisine,  comme des ado. Alala, c’est beau la vie. Soudain une porte s’ouvre.

Un individu avec une tête de péruvien chevelu émerge, la tête dans le Ulc… Apparemment, pas très content de nous trouver là, le monsieur.
On  était au courant qu’il y avait un locataire permanent dans l’auberge. Mais on ne pensait pas le rencontrer dans ces conditions avec cet air si « chaleureux »…

Il devait faire la sieste . D’où l’humeur. Il a tout de suite mis les points sur les I. En roulant les R. On ne fait pas la cuisine sur SA cuisinièRRRRe, sinon, on comprend que ça va saigner.

Il y en a une sous le porche.

On ne touche pas à ses denRRRRRRées alimentaiRRRRRRes sous peine de perdre un doigt. Ou la main peut-être.

Ok. On avait prévu de  faire les courses, on est pas des rats.

La machine à laver EST À LUI. A LUI , CLARRRRRO ?

Claro que si.

On lavera nos slips avec nos dents, si on en a toujours.

On doit faire cuisine-salle-de-bains-toilettes communs avec lui pendant 3 semaines… Ouais, on est content.

« Départ du train !!! »

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Samedi 13 juin 2009.

Très tôt le matin.Journée de figu…

On doit «jouer» les touristes débarquant d’un train Gare du Nord. Un tournage qui ne présage rien de bon en terme de résultat puisqu’une des «têtes d’affiche» ne sera autre que Virginie Effira.

Ca fait peur.

C’est pas grave, moi j’observe, et mon Elfe se repose entre 2 prises.

J’étudie donc de vrais passagers qui se hâtent sur le quai : les fameux «retardataires» dont on a tous fait partie un jour :

On se lève à l’aube (oui, car on a bien sûr pas pu trouver de billet après 7h15) et la veille le chien ou notre tube digestif nous ont épuisé…On a eu , de surcroît, 1 «petite incartade» avec «Jules» qui a fini de nous perturber l’intestin et nous a gonflé les paupières telle une grenouille transgénique.
On sait que le lendemain de toute façon, l’accueil familial dans le Sud (imaginons que nous partions là-bas), ne va pas être des plus chaleureux (- «qui est-ce qui vient me chercher à la gare demain? – «Chais pas…Prends un taxi!» OK, charmant )

C’est pas grave, on espère toujours que les choses peuvent s’arranger sur place, et le réveil, bien que difficile, s’avère POSSIBLE !

Tout va bien, il est prévu de partir pour la gare 1H avant l’arrivée du train. C’est génial, on se dit que l’on va vers le soleil, «bye bye la grisaille !»

Mais la douche et le petit-déj’ passés, étrangement, il ne reste plus 1H de battement comme prévu, mais 3/4 d’heure…
Et soudain, une sueur froide, horrifiante :

-«Où ai-je mis mes billets?!»

On cherche désespérément, tel un labrador-sauveteur-des-montagnes, on traque, les yeux fous, les coupons de voyage perturbateurs…

– «Mais merdeu, c’est quand même pas Dieu possible?!»

On hume l’air nerveusement, on gratte derrière le pouf comme un cochon qui voudrait déterrer une truffe…Non, mauvaise méthode…

Il faut réfléchir, et bien sûr, dans ces conditions, la connexion des neurones du bulbe ne s’opère pas correctement.
Alors on s’en prend à… «Jules»!

-« Putain, mais t’as pas vu mes billets Nom de Dieu de $*&#/?%+=…?»

Et cette symphonie de mots fleuris crée, comme qui dirait, une surcharge d’électricité ambiante.

C’est la merde, le délai n’est plus que d’une 1/2 h…

«Jules» électrocuté, fébrile et tremblant au fond de son lit subitement devenu trop grand pour son petit corps accusé du doigt (- «Toi, oui TOI !! C’est toi qui aurait planqué les billets pour m’en rajouter une couche?!» …Bichette, aussi improbable que s’il pouvait les retrouver)

Oui, car à ce moment précis, le + grand mépris est permis, même infondé et injuste… ON A LES BOULES, MERDE!

Soudain, il OSE :

-« Tu as vérifié dans ton agenda?»

Sans un mot, tendue comme un arc, on se dirige vers ce qui semble être une fausse piste, puisqu’on a déjà TOUT vérifié, et comme l’ON NE PEUT PAS commettre d’erreur, c’est en désespoir de cause que l’on oriente sa main vers le fameux calepin…Et là…

On devine déjà qu’il va falloir s’écraser comme une  petite crotte momifiée pour que «Jules» puisse se rengorger comme un coq et reprendre son souffle pour nous enguirlander à propos.

Puisqu’on l’aime et qu’on s’en veut à mourir (en plus, on a plus le temps d’en rajouter)…Soit…

Mais rien…Il ne dit rien… Là , on se souvient pourquoi on l’a choisi lui et pas l’autre connard qui nous aurait encore mise en retard de 5 minutes supplémentaires.
Il nous embrasse tendrement et nous souhaite un joli voyage. Il est juste merveilleux.

(Et nous, toujours cette chose visqueuse en + ramollie)

Le combat n’est pas fini, puisqu’il faut choisir :

1 taxi pour environ 15 euros, ou le métro (on est chargé comme une mule) parce qu’on a pas assez de cash (comme d’hab’) et que, (par la Grâce des Dieux !), il nous reste quand même un ridicule ticket tout fripé au fond du blouson…
On prend ce qu’on a, on trace à ce qu’on croit être la vitesse de la lumière, la valise est lourde, on a des vapeurs, le tournis, tout pourrait partir en cacahuète, mais on s’accroche comme une mouche à une bouse de vache fraîche…

Ca y est, on est à la gare, et «SHEET» , il faut encore débusquer le bon quai; le jaune ou le bleu? Le 12 ou le C ? Au secours, plus que 3 min…Ok, on le trouve. Purééééée ! Il faut ressortir le FUCKING billet pour visionner et ESSAYER d’enregistrer le numéro de la voiture et de la place, tant qu’à faire…Bon on aura que celui de la voiture, la 5.

Mais qu’est-ce-que c’est que ce buisness?!

Comme par hasard, c’est l’avant-dernière du train, plus personne sur le quai, on est seul à en baver, et un petit morveux colle son nez crado sur la vitre intérieure d’un des wagons et vous tire la langue…

Il ne manque plus qu’à se péter une patte en limaçant (car la sensation de «courir» en cet instant n’est que toute relative) , le sac à main sur les chevilles, les mollets explosés à coups de valise surchargée, les tongs dérapantes sous nos pieds stressés…

La confusion est à son comble, le contrôleur siffle…Non, pitié, ne faites pas CAAAAAaaaaa, laissez-moi partir avec ce train…Pitiéééééééé Monsieur, je vous lècherai l’orteil gauche si vous m’attendez juste 1 minute de +…

Etranglée par la anse du vanity, l’oeil hagard, les poumons arrachés, la frange collée au front comme du papier tue-mouches,  on distingue le wagon salvateur, tel un oasis dans le désert de Gobie…Courage, plus que 13 coups de tongs visqueuses…

« Pont Saint-Louis »

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Dimanche 24 mai 2009.

17H00.

Il fait un cagnard!! Même le nuage qui couvre le soleil (de plomb! ) ne suffit pas à rafraîchir l’atmosphère…

Mon chéri se jette et lance son show;

Ca sent le pétrole, il fait flamber ses torches, et commence son speech auprès du public :

-« Ok ! Ladies and Gentlemen, is there american? (un peu acide) Vous pouvez être fier, vous avez un nouveau président !!!….»

Le soleil se fraie un passage à travers les nuages…Merde ! Ca tape !

Des gens suçotent leur glace Bertillon qui fond trop vite et leur dégouline sur les doigts…

Un type en chaise roulante se fait placer sur 1 des côtés du spectacle.

Elfe:-«Voilà ce que c’est d’avoir les moyens de faire du ski !»

Hummm… Ahahaha…Ca se trouve, le mec est «juste» paraplégique…

Lui et son humour corrosif …J’adore…Parfois, c’est limite quand même!

Des anglais, des américains…Tout à l’heure des petites suédoises typiques grillées comme des poulets.

Les gens arrivent, s’assoient, ou pas. Le spectacle prend forme.

Il installe ses brosses à chiotte bleu-blanc-rouge qui symbolisent le drapeau français…

Elfe enthousiaste :-«Voilà ! Tous dans la merde! OUAIAIAIAIS !»

Les filles passent toutes bronzées avec leur dernière robe Zara, ou leur short Zadig et Voltaire en cotonnade , et la marinière Petit Bateau citron rayé. Des chapeaux, des bottes en daim, des petites sandales de cuir strassées ou tressées me passent sous les yeux.

L’air est lourd, on se croirait en plein mois d’août. Celui où tous les parisiens (les + friqués) se cassent sous d’autres cieux.
Elfe interpelle une petite fille pour lui servir de rideau/coulisse :

-«Allez ! Place-toi là, et comme tous les parisiens, fais la gueule…»

Les gens ricanent…La petite en roller, très vexée, jette un regard noir vers la foule comme si on était tous des enfoirés, et se sauve en glissant.

Touchante.

Plus tard au dîner, brasserie de L’île Saint Louis :

La Trentie: -«Un coq/frite s’il-vous-plaît !»

(surprise du serveur;  ça n’a pas l’air d’être courant comme combinaison)

-«Un coq avec des frites ?!»

-« Et ouais. Je suis une provinciale.»

Le serveur: -«A Paris, y’a pas de parisiens, y’a que des provinciaux !»

Sourires.

-«Exactement! »

-«Allez, 1 coq/frites pour la demoiselle !»

à Elfe :-« Ca sonne bien «coq/frites !»

Les bulles de Badoit glacée me pètent au nez.

Derrière Elfe, le soleil se couche tranquillement… Le Panthéon est encore ébloui… le vert des arbres ressort grâce au clair-obscur…Evanescence de la lumière…Nous sommes protégés par les feuilles bienveillantes d’un noisetier…
Le Beaujolais, d’une fraîcheur incroyable, nous fait «friser la moustache»…

Punaise, ce que c’est bon !

La bordure dorée des tables «bistrot» étincelle, les coupes de glace Bertillon sont traversées d’un flot radieux, le jaune pétillant des bières, généreusement écumantes, est sublimé…

A nos côtés, un américain explique à son compagnon de table que les AK 47 ( euh, ouais! ) sont à  moins de 100$…Que les diamants sont + rentables en Afrique du Sud ( depuis «Blood diamond»… )…Mes oreilles saignent…

…Que la vie est douce. Parfois.


« Barbeuk chez Crazy Horse?! »

Posted in amitié, épicurien, couple, culture, fête, gastronomie, loisir, Paris, relation, société with tags , , , , on 30 novembre 2009 by latrentenaireselache

Le 20 mai 2009, tard. (veille de l’Ascension)

Elfe:-« Bon…Demain, barbeuk chez ton pote alors? »

La Trentie:-« MMmmmm… »

Elfe (avec un air convenu en coin):-« Debout quelle heure? Tu t’occupes du réveil hein?! »

La T (dépitée) :-« MMmmmm…Chais pas…10h00…?! »

Elfe:-« Je vois…Je préfère que ce soit toi qui t’occupe ! Mais commence à préparer un message d’excuses, AHAHA! »

La T.:-« Nooooon…Je peux pas faire ça…En tout cas, pas maintenant…Ce sera + facile quand j’aurai la tête éclatée par le réveil demain matin… »

« Crack, Shtiouf…Pling! »

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Le 20 mai 2009, 19h30.

Terrasse du Tribeca, (devant Leader Price, Rue Cler)

Un S.D.F. complètement bourré, jette un briquet sur les pavés du passage piéton :

S.D.F.:-« Puuutain d’ Nom deueu DIIiieu !! »

Elfe:-« T’as vu, il a jeté son briquet ! »

La Trentie:-« Punaise, oui, et il l’a jeté super loin ! C’est l’effet « bière Leader Price »…

5 min. +tard.

CCRRRAAAACKKKKK! SHTIOUfffffff….PLING !

Un homme, marchant tranquillement sur le pavé, fait un bon sur le côté, décontenancé… Il vient d’écraser le briquet qui, transformé en projectile, atterrit à quelques centimètres de nous, sur le rebord métallique d’une table…

Confusion totale…Ca aurait pu nous défigurer. Ce n’est pas le cas, donc on peut nerveusement en rire…

« Crazy Horse »

Posted in amitié, couple, culture, ex, loisir, photographie, relation, société with tags , , , , , , , , , , , , , , on 30 novembre 2009 by latrentenaireselache

Le 20 mai 2009.

Elfe :-« Alors ça y est, après-demain je rencontre un des types avec qui tu as « fucké » ?

La Trentie :-« Euh…Oui…Enfin…Malheureusement non…Pas tant que ça…A cette époque, j’aurais aimé que ça « fuck » un peu plus ! »

E:- » Hein?! Ah oui, c’est vrai, c’est lui qui avait des problèmes d’érection?! »

La T.:-« Bichette…Oui…Je me souviens, il voulait me présenter à ses parents…J’étais pas spécialement partante (pas franchement amoureuse), mais (à force d’entendre, « ils vont t’adorer ») au moment où je me dis « tiens, pourquoi pas », il me sort :

« Crazy Horse »: -« Bon, ben j’espère que tu ne m’en voudras pas, mais tu risques de voir la photo de Svetlana en médaillon sur le buffet pendant le dîner (son ex, ex-ballerine du Bolchoï, maintenant danseuse au Crazy Horse…) »

La T:-« Nonooon… (Non mais je rêve…Putain mais moi aussi j’ai su faire le grand écart !!) »

« Crazy Horse »:-« Bon alors, on dit vendredi?! »

La T:- » Ah non, Mince, j’ai un truc vendredi …( t’aime les médaillons?! Je vais t’en faire un tout neuf avec tes « bijoux mous »!) »

« Je lui caresse le Pad… »

Posted in couple, culture, loisir, Mac Book, relation, société with tags , , , , , , , , on 28 novembre 2009 by latrentenaireselache

Le 19 mai 2009.

Lui, (accent suédois) :- » …Quand tu lui touches le Pad…La sensation…C’est comme du soie. Le matin, au réveil, je le caresse avec 2 doigts, et en rotatif, c’est vraiment formidable…C’est organique…Non, une fois que t’as connu le Mac Book, tu peux pas revenir en arrière…C’est tellement…Simple ! »

Elle : -« Oulaaaa, mais attends, tu parles de ton ordi comme tu parlerais d’une nana ! C’est hyper fusionnel ton truc !! T’es amoureux ou quoi?! »

Lui:- » Non, le vérité c’est que…Huuummmm…FFffoufff !! ………T’as du mal à respirer tellement c’est juste trop…Parfait ! »

Elle:-« Ouais, c’est ça…Putain, mais je rêêêve ! »

Plus tard.

Elle:- » Tiens…Tu te touches les couilles ?! »

Lui:-« Oui, mais juste comme ça… »

Elle:-« Oui, enfin tu te tripotes en caressant ton Mac Book quand même !! »

Lui:-« Non, mais c’est vrai que ça glisse trop bien … »

Elle:- » ?!?!?! … »